Point de départ des neurosciences : le fonctionnement du cerveau repose sur la création et le maintien des habitudes. Nous conditionnons tout simplement notre cerveau et notre corps à faire les mêmes choses…quotidiennement !

Comme le dit William James, psychologue et philosophe américain, ce sont les habitudes qui dictent notre comportement : “Simples assemblages d’habitudes, nous sommes des créatures stéréotypées, des imitateurs et des copieurs de nous-mêmes.”

Partant de là, on se dit qu’il y a du boulot pour changer ! Et pourtant, nous savons pertinemment qu’il nous faut modifier certaines de nos habitudes…

Donc si nous voulons évoluer, il faut changer les réactions et les comportements que notre corps a pris l’habitude de produire, et adopter de nouvelles habitudes bénéfiques, saines et décidées.

Et pour y parvenir, tout se passe là-haut, dans notre cerveau ! Le changement, c’est une modification morphologique du cerveau. Les scientifiques l’ont démontré depuis des années par les sciences cognitives, les fameuses neurosciences.

Cette incroyable machine qu’est notre cerveau peut donc être rebootée… remise à zéro !

S’il y a bien une chose qui définit notre méthode HATAHE, c’est ce précepte là.

C’est en transformant nos habitudes que l’on pourra transformer notre vie. Et pour transformer nos habitudes, il nous faut en ancrer de nouvelles.

Des habitudes choisies et qui nous sont bénéfiques. Chez HATAHE, nous avons développé un protocole d’ancrage précis. Un protocole qui suit les neurosciences et que nous transmettons dans chacune de ses formations.

Mais rentrons avant tout dans le détail…
Qu’est-ce qu’une habitude ?

Une habitude est une disposition acquise, relativement permanente et stable, qui devient une sorte de seconde nature. Pour le cerveau, une habitude est un circuit neuronal. Plus l’habitude est ancrée, plus le circuit est souvent utilisé – ce qui le rend plus efficace et plus rapide !

Les habitudes représentent environ 40% de nos comportements chaque jour ! Presque la moitié de ce qu’on fait n’est pas dictée par notre tête mais par notre corps…

Apprendre à transformer ses habitudes c’est apprendre à transformer sa vie !

Il faut savoir également qu’une habitude est une boucle neurologique définie en 3 temps : le signal, la routine et la récompense.

Le Signal, c’est le stimulus perçu par le cerveau qui peut activer une routine. Ça peut être une émotion, une personne, un bruit, un endroit, une odeur, etc.

La Routine correspond à l’action déclenchée en réponse à ce signal.

La Récompense quant à elle, va venir renforcer le lien entre le signal et la routine. Si le cerveau est satisfait, il va garder cette routine, et l’assimiler à quelque chose à reproduire dans le futur.
Comment se forment les habitudes ?

Le cerveau est régi par deux modes de décision : le système 1 et le système 2.

Le Système 1, c’est tout simplement la façon de penser automatique, rapide et inconsciente. Le cerveau dirige notre vie de manière autonome et efficace, cela demande peu d’énergie et d’attention.

Le Système 2 relève de la façon de penser consciente, intentionnelle et contrôlée. Cela demande de l’effort et de l’énergie pour maintenir l’attention.

Le cerveau étant paresseux, il choisira le plus possible, ce qu’il connaît et maîtrise – à savoir le système 1 !

S’il ne trouve pas de solution avec le système 1, alors il passera au système 2.

C’est comme ça que notre cerveau gère toutes les décisions de notre vie, à longueur de journée.

Nos habitudes, nos routines nous permettent d’accomplir un nombre incroyable de choses en utilisant le moins d’énergie consciente. On reste ainsi sain d’esprit et on gère les situations courantes sans effort conscient. C’est d’autant plus de temps pour nos pensées créatives ou enrichissantes.

Donc oui, les habitudes ont véritablement une part de positif !

Mais lorsqu’elles ne nous définissent plus, qu’elles nous sont toxiques, néfastes ou bloquantes, et pourtant bien intégrées dans notre quotidien, nous pouvons choisir de les modifier.

Le cerveau les a apprises, il peut les désapprendre – ou pour être tout à fait exact : en apprendre de nouvelles qui viendront remplacer celles dont on ne veut plus dans notre vie. Celles qui nous empêchent de débloquer les étapes de notre transformation personnelle.
Pourquoi est-il difficile de se défaire d’une mauvaise habitude ?

La plupart du temps, les mauvaises habitudes sont causées par le stress et l’ennui. Un élément important à prendre en compte lorsque l’on parle d’habitudes est la dopamine.

La dopamine est un neurotransmetteur clé du cerveau qui transmet les informations d’un neurone à un autre. La dopamine est le principal neurotransmetteur impliqué dans le circuit de la récompense, au sein du cerveau.

Cette hormone est libérée dans notre cerveau lors d’expériences que celui-ci associe au plaisir, et particulièrement aux plaisirs vécus sur le court terme.

Elle joue un rôle déterminant dans le processus de formation des habitudes, principalement au début, lors de la création de l’habitude. Ensuite, son importance diminue car le cerveau s’habitue à cet apport de dopamine et il en demande encore plus.

Phénomène très connu lors d’addictions…

C’est pourquoi il est difficile d’ancrer de nouvelles habitudes et de chasser les anciennes – qui procurent à très court terme ce dont le cerveau a besoin.

HATAHE a été créé pour vous accompagner dans ce processus d’ancrage de nouvelles habitudes par le protocole qu’il a mis en place, et la création d’un nouveau chemin neuronal, en 21 jours.

Le process commençant toujours par une prise de conscience de la situation et un nettoyage du passé.

On doit d’abord créer les conditions de son succès ! La nouvelle habitude doit correspondre à sa vie et à son mode de vie. Et bien sûr à ses objectifs et aspirations.

7 jours pour apprendre de nouvelles croyances et de nouvelles connaissances : nous sommes dans le “DÉCONSTRUIRE”.

7 jours pour mettre en pratique ces nouvelles croyances : vient ensuite le “RECONSTRUIRE”.

7 jours pour devenir par ce nouveau système de valeur et d’habitudes choisies : on est alors dans le “ANCRER”.